Faut-il que tu t'en souviennes
la joie venait toujours après la peine
viennent la nuit et sa demeure
et le jour qui sonne les heures.
la joie venait toujours après la peine
viennent la nuit et sa demeure
et le jour qui sonne les heures.
Main dans la main
nous restions face à face
tandis que sous les arcs du pont
nos bras s'entrelaçaient
aux éternels regards de l'onde.
nous restions face à face
tandis que sous les arcs du pont
nos bras s'entrelaçaient
aux éternels regards de l'onde.
Vient la nuit, sonnent les heures
les jours s'en vont en leur demeure
ni temps passé
ni amour désespéré.
les jours s'en vont en leur demeure
ni temps passé
ni amour désespéré.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire